Permaculture : pourquoi ne pas devenir autonome ?

Apparue au début du XXe siècle, la permaculture désigne en général un mouvement humaniste qui consiste à cultiver la terre tout en gardant sa fertilité naturelle et de vivre de façon autonome. Et de nos jours, beaucoup de familles décident de pratiquer la permaculture ce qui exige une éthique qui repose sur trois principes fondamentaux : le respect de la nature et de biodiversité, le partage équitable et le respect de l’humanité.

la permaculture à l’agriculture

Dans le domaine de l’agriculture, elle consiste à cultiver le sol en pratiquant le non-labour qui n’altère pas l’équilibre des sols et qui garde la fertilité du sol pour une très longue période et de se suffire grâce à une culture et un élevage personnel Concrètement, il s’agit de vivre en harmonie avec l’environnement, les hommes et du partage équitable. De ce fait, on construit un système agricole optimisé à long terme qui permet aussi de vivre en parfaite permaculture et autonomie tout en prenant soin d’utiliser des techniques optimisées et de faire un travail moins compliqué, du recyclage et réduire la consommation.

la permaculture face aux modes de vie des habitants

La permaculture et autonomie touche vraiment le mode de vie, de ce fait, cela inclue aussi l’habitation, c’est-à-dire construire une maison grâce à des produits recyclés ou des matériaux biodégradables pour une meilleure écologie et une consommation d’énergie optimisée. Car oui, les habitations sont un facteur de la grande consommation de l’homme et en ayant une maison construite grâce à des matériaux écologiques, on diminue fortement la consommation d’énergie et de ressource ce qui est un grand pas vers une vie complètement autonome.

la permaculture à l’économie

Pour vivre en permaculture et autonomie, il faudrait diminuer les besoins liés à l’argent et où la permaculture est un acte qui aide pour atteindre cette autosuffisance, car en ayant sa propre production de fruits et légumes, on peut subvenir à nos besoins et pour ne pas gaspiller le surplus produit, on pourrait les échanger contre d’autres produits utiles par un système de troc ce qui contribue aussi à maintenir un échange entrer une communauté et améliorer les échanges sociaux. D’ailleurs, les animaux élevés dans la permaculture sont une alternative pour les engins utilisés pour travailler la terre, car des bœufs ou des chevaux nourris facilement et gratuitement pourraient très bien faire le travail d’un tracteur gourmand en carburant qui, en plus de polluer la nature, est cher.

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